J’ai failli lire du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier de Kandinsky mais…je l’ai jeté aux ortisses, c’est la faute à Matisse.

Après avoir laborieusement avalé quelques dizaines de pages que je ne trouvais pas franchement digestes, pensé de plus en plus fort que le bonhomme se la pétait grave, je suis tombé sur cette phrase condescendante :
“Si la peinture française en général, et la peinture de Matisse en particulier, s’est toujours trouvée sur la voie de cette perfection poignante, sans jamais l’atteindre, cela s’explique par un élément propre à cette nation qui est la tendance à pencher vers la joliesse extérieure de la couleur et son incapacité à créer un dessin objectivement intériorisé.”

Et là, j’ai décidé de balancer illico le livre.

Christ inspiré d’un croquis tracé lorsque j’étais dans la chapelle du rosaire, sublime oeuvre de Matisse.